missions et objectifs
- sa contribution à la sécurité alimentaire ;
- sa participation à la lutte contre la pauvreté ;
- le fait que le poisson est la principale source de protéines animale ;
- son apport en devises étrangères ;
- les possibilités liées à la création de richesses et d’emplois durables.
- la nature intégrée des écosystèmes côtiers et marins ;
- l’interface terre mer des pays insulaires et des complexes hydrauliques et grands fleuves continentaux ;
- la diversité des niveaux de développement économique et social ;
- la diversité concernant la dotation en ressources naturelles ;
- la diversité d’histoire, de cultures et de langues ;
- la similitude des besoins dont la satisfaction serait facilitée par la mise en commun des moyens régionaux disponibles, à savoir : les ressources humaines, les ressources financières, les structures de formation et de recherche, ainsi que les moyens et capacités pour le Suivi, contrôle et surveillance ainsi que les infrastructures de base, etc.
- promouvoir la conservation et la protection des ressources halieutiques et des écosystèmes aquatiques ;
- mettre en place une politique coordonnée et harmonisée de règlement de l’accès et de l’allocation des droits de pêche ;
- promouvoir les investissements privés ainsi que les investissements publics dans les domaines institutionnels (structures de gestion, de formation et de recherche) et des infrastructures.
- L’harmonisation des politiques halieutiques des Etats parties ;
- La promotion d’une coopération active en matière de développement et d’aménagement des pêcheries dans les Etats parties ;
- La détermination d’une attitude concertée à l’égard de l’activité des navires de pêche des Etats tiers en accordant un traitement favorable aux unités de pêche sous pavillon des Etats parties ;
- La promotion de la constitution d’entreprises conjointes de pêche entre ressortissants des Etats parties ;
- La préservation et la protection des écosystèmes aquatiques, tant en eaux maritimes qu’en eaux continentales ;
- La coordination et le suivi des programmes de recherche et de formation en matière des pêches et d’aquaculture ;
- L’évaluation des ressources se trouvant dans les eaux relevant de la souveraineté ou de la juridiction de plusieurs Etats parties ;
- Le traitement, l’analyse et la mise à disposition des Etats parties des données scientifiques et techniques ainsi que les informations sur les pêches et l’aquaculture;
- L’intéressement des autres Etats parties sans littoral aux mesures de conservation et de gestion des ressources halieutiques du Golfe de Guinée ;
- Le développement responsable de l’aquaculture dans les zones relevant de la juridiction des Etats parties ;
- Le développement responsable de l’aquaculture dans les écosystèmes aquatiques transfrontières ;
- La mise en place d’un cadre juridico administratif efficace aux niveaux local, national et régional, aux fins de la conservation des ressources halieutiques et de l’aménagement des pêcheries.